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De doux baisers teintés de bleu...
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De doux baisers teintés de bleu...
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5 juillet 2007

Et si...

8251125_pOn ne se passe pas facilement du libertinage, du plaisir sans contrainte, de l’échange sans promesse, du sexe sans amour, si ce n’est celui du partage et de la complicité.

Mais après "ce dernier jeu" qui est devenu dangereux, est arrivé dans ma vie, une histoire qui m’a menée plus loin que je ne l’aurai pensé.
Depuis quelques mois déjà, je connaissais
ma Perle noire absolument craquante qui connaissait l’art et la manière de me faire craquer. Une de ces femmes terriblement charmante, qui ne demande jamais rien, mais qui joue avec les mâles, tout en s’étonnant elle-même qu’ils lui tombent dans les bras. Je lui avais déjà avoué mon désir pour elle, mais nous en étions toujours restés là.
Moi, à ce moment-là ; je ne m’interdisais rien et laissais mon corps agir comme bon lui semblait.

Dur dur de ne parler qu'avec des pseudos... c'est amusant de s'imaginer plus que de se connaître.

J’avais décidé qu’elle serait à moi le temps d’un instant et même s’il n’y aurait entre nous qu’une seule et unique nuit, je la voulais plus que tout. Nous nous envoyons des sms parfois et mon désir sans tabou, mes mots crus et insistants avaient rapidement raison de sa fausse pudeur et de sa défiance envers les doux dingues délurés.

Pouvoir traverser la France dans les airs ou en chemin de fer...
Je pourrais rester une nuit, un week-end et je repartirais vivre ma vie de lillois. Je me sentais incroyablement libre, heureux et indépendant. Je m’invitais dans sa vie. Et je repartais vivre la mienne.

Mais les liaisons peuvent-elles durer toujours ? Peut-on rester amants sans glisser vers l’amour ? Quand peu à peu le plaisir partagé devient égoïsme et mutisme, quand à force de trop se promettre, se demander, on finit par croire que nous sommes dingues. On dit que rien ne se passe jamais comme on le dit... je demanderai bien à voir...

Si seulement le bonheur était de ne jamais s'attacher ce serait peut-être plus simple... mais je ne crois pas hélas, que cela suffise au bonheur.

Je ne peux t'oublier... jamais !

Quand une relation ne passe que les corps, qu’on en oublie les mots, comment dire que… peut-être… ce n’est plus… tout à fait… que du Q.

Comme un grand garçon indépendant, je trouve que sauter dans le premier train, est un acte excessivement fort et courageux.

Comment laisser sa liberté à l’autre, ne pas envahir sa vie, et pourtant y vouloir une place importante et une présence quasi-omniprésente ? Comment trouver ce juste équilibre entre l’absence et l’indépendance ? Comment faire pour que le désir d’indépendance ne se transforme pas en sentiment d’absence ?

Faisons un parallèle … Entre elle et moi, que nous sommes-nous promis ? Un sms chaque jour ? Au pire, une histoire par semaine ? Même pas, nous ne nous sommes jamais promis une fidélité et régularité sans faille ! Et pourtant, nous étions-nous dit qu'elle était libre et qu'elle avait le droit à son indépendance ?

Je veux une femme libre et indépendante !

Toutes les rencontres sont importantes... Merci de rappeler que les histoires de Q peuvent être bien jolies.

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